Le marché de travail espagnol souffre des importants déséquilibres entre l'offre et la demande de qualifications, en affectant négativement à l'employabilité et à la productivité des entreprises. Selon l'étude réalisée par la Chambre de commerce de l'Espagne, dérivé des résultats d'un sondage annuel, un pourcentage élevé des entreprises encuestadas qu'avaient créé des recherches de candidats reconnaissent y avoir des eues difficultés pour trouver profils appropriés, spécialement en des posts spécialisés. Les manques se remarquent autant en des concurrences techniques comme en des habilités blandas, et sont plus graves en des petites entreprises. En plus, les entreprises qui estiment négativement les concurrences des candidats sont, paradoxalement, celles qui montrent majeure disposition à continuer à embaucher, ce que suggère une extension ne souhaitée des procès ouverts en raison de la faute de profils appropriés. Enfin, en des traits généraux, les résultats suggèrent une decreciente prédisposition des entreprises à embaucher nouveaux profils.

The Spanish labor market suffers from significant imbalances between the supply and demand of skills, negatively affecting employability and business productivity. According to the study conducted by the Spanish Chamber of Commerce, derived from the results of an annual survey, a high percentage of the companies surveyed that had initiated candidate searches acknowledge having had difficulties in finding suitable profiles, especially in specialized positions. Shortages are observed in both technical competencies and soft skills, and are more serious in small companies. In addition, companies that negatively evaluate the skills of candidates are, paradoxically, those that show the greatest willingness to continue hiring, which suggests an undesired extension of open processes due to the lack of suitable profiles. Finally, in general terms, the results suggest a decreasing predisposition of companies to hire new profiles.

Le marché de travail espagnol se fait face à depuis fait décennies à des importants déséquilibres entre l'offre et la demande de travail, qu'impactan profondément autant dans la qualité de l'emploi disponible comme dans le développement économique du pays. Selon l'Observatoire des Occupations du SEPE ( 2024 ), ces déséquilibres ne seulement gênent que les personnes accédez à emplois dignes et productifs, mais qu'en plus freinent la croissance de l'emploi, merman la productivité des entreprises et ralentissent le progrès économique et social.

Ce désajustement se manifeste clairement lorsque les qualifications et concurrences de la population active ne se correspondent pas avec les besoins réels exprimées par les entreprises. Dite desconexión affecte négativement autant à qui ils cherchent travail, comme aux compagnies, qu'éprouvent des difficultés pour couvrir certains posts vacants, à la fois qu'il se voit intensifiée par l'accéléré rythme de transformation technologique, la digitalización et la transition écologique, facteurs qui exigent concurrences de plus en plus spécifiques et devancées.

En plus, la formation fournie par le système éducatif espagnol ne toujours est alignée avec les exigences réelles du marché de travail. Selon Torres et Fernández ( 2024 ), presque un tiers de la population active espagnole présente un niveau formatif inférieur à l'éducation secondaire complète, chiffre qui surpasse largement la moyenne européenne -proche au 20 % en 2022 -. Ce bas niveau éducatif limite considérablement l'employabilité d'une part significative de la population, en augmentant ainsi la taxe structurale de chômage. Simultanément, l'excessive concentration en formation supérieure universitaire génère un autre problème: la sobrecualificación. Nombreux diplômés universitaires terminent en occupant emplois pour lesquels il ne se requiert pas tel niveau de formation, en générant frustration et desaprovechamiento du capital humain disponible.

Ces déséquilibres s'accentuent dans certains collectifs, spécialement entre les jeunes. À peine une quatrième part des personnes entre 15 et 24 ans est employée, chiffre significativement moindre à la moyenne européenne -située autour du 35 % en 2024 -. Ce phénomène est étroitement lié avec l'élevée taxe d'abandon scolaire tôt et l'insuffisante qualité de la formation secondaire et technique. La jusqu'à fait peu d'ans rare offre formative en des concurrences tu interviens, clef pour certains secteurs économiques, aussi contribue à exacerbar cette situation.

Pour réduire ces désajustements est fondamentaux reorientar les politiques éducatives vers une approche plus pragmático et adapté aux demandes réelles du marché de travail. Ils se requièrent des programmes éducatifs qu'ils combinent connaissances académiques solides avec concurrences techniques et digitales concrètes, alignées avec les besoins des entreprises contemporaines.
 

2 . 1 .    Introduction

La Chambre de commerce de l'Espagne réalise annuellement un sondage intitulé “Étude de besoins formatifs et d'embauche” , encadrée dedans du Programme Intégrale de Qualification et Emploi (PICE), projet financé par le Fond Social Européen. Cette initiative est coordonnée depuis la Caméra de l'Espagne à niveau national, en étant implémentée dans chaque territoire à travers le réseau de caméras locales, ce que permet capturer avec majeure précision les particularités et spécificités du marché de travail de chaque territoire.

Le principal but de cette étude radica en identifier les besoins des entreprises à l'heure de sélectionner nouveau personnel, en se dirigeant spécialement dans la formation, concurrences et habilités qui se requièrent dans les candidats potentiels. L'information obtenue moyennant cette étude résulte fondamentale pour le réseau cameral, puisque permet adapter et ajuster de façon plus efficace l'offre formative qui fournit postérieurement à travers le programme Talent Jeune.

Le questionnaire employé ramasse information détaillée sur des aspects généraux de l'entreprise encuestada, comme sont l'expérience préalable que celle-ci possède en procès d'embauche, l'estimation globale du personnel embauché récemment, les besoins concrets en ce qui concerne embauche à futur, la formation spécifique requis accord à l'activité économique qu'ils occupent, ainsi que les besoins additionnels d'information, cabinet conseil ou soutien institutionnel que les entreprises envisagez importantes pour améliorer ses procès d'embauche.

Dans cet article ils se vont à présenter et analyser les résultats dérivés de ce sondage, dont l'échantillon annuel comprend plus de 2 . 500 Entreprises de différentes tailles et secteurs d'activité économique tout au long du territoire national.

Avec les résultats obtenus, il s'approfondira dans les récentes tendances sur le possible désajustement entre offre et demande formative détectées dans les entreprises encuestadas, s'identifiera quelles ils sont actuellement les concurrences les plus sollicitées par ces compagnies, et il s'évaluera en détail le degré de difficulté qu'ils ont éprouvé dans la couverture effective des vacances offertes, entre autres aspects clef qu'ils seront explorados tout au long de l'article.

2 . 2 .    Tensions dans le marché de travail

Le déséquilibre entre les besoins des entreprises et la formation des candidats peut s'identifier de forme directe moyennant la difficulté qu'ils éprouvent les premières à l'heure de trouver candidats appropriés pour couvrir ses vacances. Cet indicateur évidence clairement le désajustement existant entre les concurrences qu'ils offrent les solliciteurs d'emploi et les habilités que réellement requièrent les entreprises pour occuper efficacement ses fonctions. Un grand aperçu de difficulté par part des compagnies signale, par tellement, un désajustement considérable entre l'offre éducative et formative disponible et les exigences du tissu productif.

Devant tel problématique, les premiers résultats dérivés du sondage ils reflètent comment le pourcentage d'entreprises qu'ils signalent des difficultés pour trouver profils appropriés il a significativement augmenté, en passant du 55 % en 2017 70 au % en 2025 sur le total d'entreprises qu'ils ont créé procès d'embauche dans les deux ans antérieurs. Cependant, il rentre signaler que cette proportion est légèrement descendu depuis les niveaux maximaux de la série ( 71 %) enregistrés en 2024 .

Selon les données ramassées, la difficulté pour trouver candidats appropriés il varie considérablement selon la taille de l'entreprise et le secteur d'activité. En général, se remarque que combien majeur est l'entreprise, majeure est la difficulté reportada pour couvrir posts vacants, surtout spécialisés. Ceci peut sembler contradictoire dans un premier temps, en envisageant que les grandes entreprises ils ont l'habitude de disposer de majeures ressources pour la diffusion de ses offres de travail et racontent avec des équipes spécialisées dans le captage de talent. Pourtant, une possible explication réside en que, conforme les entreprises ils augmentent sa taille, tienden à sofisticar et spécialiser plus ses opérations, ce que implique l'ouverture de posts avec des conditions requises hautement spécialisés. Ce phénomène provoque que l'ensemble de candidats potentiellement aptes se réduise considérablement, en faisant plus compliqué trouver un profil qu'il accomplisse avec les concurrences requises.

L'analyse sectorielle révèle aussi une situation généralisée de difficultés. En promedio, plus de 80 le % des entreprises encuestadas dans chaque secteur économique ont manifesté des problèmes pour couvrir posts vacants, déjà soyez ceux-ci spécialisés, peu spécialisés ou tous les deux, avec particulière gravité en des secteurs comme l'industrie extractive, où la totalité des entreprises participantes ont signalé des difficultés pour trouver un candidat idoine.

En plus, il se souligne une différence importante en ce qui concerne le degré de difficulté perçu entre des posts hautement spécialisés et ceux-là qui requièrent moindre degré de spécialisation, beaucoup majeure en les premiers. Cette brèche se présente en presque tous les secteurs, hormis en l'hôtellerie et le tourisme, où telle différence est réduite. Ceci pourrait s'expliquer en raison des caractéristiques particulières du secteur services en Espagne, spécialement en des branches comme l'hôtellerie et le tourisme, dans celles qui les exigences formatives tienden à être moins spécifiques comparées avec des secteurs industriels hautement spécialisés.

2 . 3 .    Déséquilibre en l'Offre et Demande de formation

Les résultats antérieurs suggèrent l'existence d'un vrai désajustement de concurrences entre l'offre de travail disponible et les besoins concrets exprimées par les entreprises. Ce phénomène acquiert spéciale importance puisqu'impacta directement dans l'efficacité du marché de travail, en retentissant autant dans la productivité des entreprises comme dans la capacité d'insertion de travail des personnes en recherche active d'emploi.

Le suivant graphique montre le pourcentage d'entreprises encuestadas qu'envisagent "insuffisantes" les connaissances, habilités ou concurrences des candidats interviewés. Les résultats se détaillent segmentados selon la taille de l'entreprise et la concurrence spécifique estimée. Comme constat principal s'extrait comment le pourcentage de signatures qu'envisage insuffisantes les connaissances, habilités ou concurrences des candidats il enregistre une tendance à l'il haussetout au long de la série historique disponible. Concrètement, il se remarque depuis l'an 2017 une croissante insatisfaction générale par part des entreprises vers les capacités des candidats, en mettant en évidence un dégât progressif dans l'aperçu des entreprises sur l'adéquation à ses besoins du capital humain disponible dans le marché.

Une question remarquable/remarquable qui affleure à partir de l'analyse par taille des entreprises est que cette insatisfaction tiende à être plus accusée combien plus petites sont les entreprises. Une possible explication dérive de l'argument exposé dans l'alinéa antérieur. Les entreprises petites disposent de moins de ressources relatives et de capacités limitées pour réaliser une recherche ample et effective de talent, par ce que accèdent à un segment un plus réduit et aléatoire du marché de travail. En conséquence, ils font face à des majeures difficultés pour identifier et attirer des profils qu'ils répondent pleinement à ses besoins spécifiques, en se voyant en beaucoup d'occasions obligées à se conformer avec des candidats que ne réunissent pas toutes les qualités souhaitées ou que présentent des manques importants dans certaines concurrences clef.

Par ailleurs, un résultat remarquable/remarquable et qu'il contredit partiellement un aperçu généralisé dans le marché de travail —que tiende à focaliser l'attention principalement dans la pénurie de concurrences techniques devancées— est le croissant poids que les entreprises encuestadas accordent à l'insuffisance en des concurrences transverselles, comúnmente dénommées soft skills. Entre ces concurrences soulignent notablement la domination d'idiomes étrangers, les capacités commerciales et de marketing, ainsi que les habilités personnelles ou interpersonales. Bien que ces manques affectent à des entreprises de toutes les tailles, la préoccupation il s'accentue considérablement dans le cas des microentreprises et petites entreprises. Ces organisations perçoivent une brèche significative en des dites concurrences, probablement dérivée des limitations mentionnées antérieurement pour attirer candidats avec des profils plus complets, en contraste avec les grandes entreprises, que reportan un niveau un plus modéré d'insatisfaction.

Pourtant, ne dois pas se sous-estimer l'importance des concurrences techniques spécifiques ou hard skills,spécialement ces liées avec connaissances technique-professionnelles et des habilités digitales, liées avec les Technologies de l'Information et la Communication (TIC). Plus concrètement, le pourcentage d'entreprises qu'ils envisagent insuffisante les connaissances et habilités des candidats en ce que à connaissances technique-professionnelles se rapporte, il aussi vient en s'accroissant tout au long des ans, particulièrement dans le contexte actuel caractérisé par une accélérée digitalización et un rythme élevé d'innovation technologique. Ce phénomène se montre encore plus préoccupant dans le segment de micro et petites entreprises, où le pourcentage d'insatisfaction à l'égard des connaissances techniques et des professionnelles vient en surpassant le % 30 tellement dans les petites entreprises ( 10 à des 49 travailleurs) comme dans les microentreprises (jusqu'à des 9 travailleurs). 
 

Également, il rentre ressortir un autre aspect préoccupant.  La proportion d'entreprises qu'ils qualifient comme “élevées” (par dessus de niveaux “appropriés”) les concurrences et connaissances des candidats il a maintenu une tendance croissante jusqu'à l'an 2022 , en éprouvant à partir de cet an une notable chute. Ce fait reflète un déplacement généralisé vers des aperçus de moindre qualité, avec un accroissement simultané dans la proportion d'entreprises qu'estiment les concurrences de ses candidats comme “appropriées” ou directement “insuffisantes”, en renforçant ainsi l'idée d'un dégât paulatino des aperçus des entreprises sur les connaissances et des habilités de la force de travail.

L'analyse sectorielle aussi offre des dimensions intéressantes pour comprendre la grandeur et caractéristiques de ces déséquilibres. Il souligne en des termes négatifs le secteur d'hôtellerie et tourisme, qu'il présente des niveaux d'insatisfaction élevés en des diverses concurrences, particulièrement en des habilités commerciales et de marketing, idiomes étrangers, et concurrences personnelles. Par le contraire, secteurs comme la construction et le reste des services ils montrent un niveau modéré de mécontent, bien que notablement grand dans quelques concurrences spécifiques.

Devant ce panorama, résulte intéressant contraster les résultats antérieurement exposés avec l'importance relative que les propres entreprises ils attribuent à chacune des concurrences évaluées. Identifier clairement en des quels milieux spécifiques de la connaissance et habilités il se produit le désajustement le plus grave il est clef pour diriger efforts formatifs et éducatifs vers ces aspects ces plus critiques pour le tissu productif.

L'analyse complémentaire, reflété dans le graphique suivant, apporte précisément cette information au révéler la proportion d'entreprises que qualifient comme "importantes" ou "très importantes" diverses concurrences, autant soft comme hard skills. Les résultats globales suggèrent que les entreprises attribuent une spéciale importance à des déterminées habilités sociales et interpersonales, telles comme les concurrences pour la communication interpersonal, la domination de l'idiome national —en particulier à l'embaucher des travailleurs étrangers—, habilités de leadership et innovation, entre autrui. Dans une seconde plate, bien que encore avec une importance significative, ils apparaissent des connaissances liées avec l'attention au client et un niveau basique des TIC.

Ce patron présente des nuances importantes selon le secteur économique évalué. Par exemple, le secteur touristique et hostelero souligne avec grande intensité l'importance d'habilités en attention au client et des idiomes étrangers, concurrences qui résultent moins remarquables/remarquables en des secteurs comme la construction ou les industries extractives. À l'inverse, la domination basique-intermède des TIC est spécialement apprécié dans les industries de l'eau et énergie et autres services, tandis que les industries extractives ils assignent moindre importance à ces habilités digitales.

Au comparer ces résultats avec les obtenus dans les épigraphes antérieures on peut signaler comment les connaissances des candidats estimés comme insuffisants par un majeur pourcentage d'entreprises - idiomes étrangers ou capacité commerciale et marketing -, sont de quelque forme les moins importants pour elles d'accord avec le graphique antérieur, bien que s'agit de de les pourcentages élevés de toute façon: autour du 72 % il envisage que les habilités liées avec l'attention au client et le marketing sont importants, alors que plus de 50 le % il indique que la connaissance des idiomes étrangers est importante ou très important.

2 . 4 .    Prévision d'embauche

L'apparent dégât de l'aperçu qu'ils ont les entreprises sur les connaissances et des habilités des candidats n'il seulement semble engager la capacité immédiate des entreprises pour couvrir ses vacances, mais qu'il aussi pourrait avoir des conséquences sur les perspectives d'embauche à moyen terme. À son tour, il rentre souligner que la disposition des entreprises à incorporer nouveau personnel aussi est influencée par des facteurs externes comme l'évolution de l'économie nationale et internationale, les expectatives macroéconomiques ou le niveau de confiance des entreprises.

Dans ce contexte, évaluer la prédisposition des entreprises à embaucher dans le court et moyen terme il se convertit dans un indicateur clef pour anticiper l'évolution du marché de travail, spécialement en ce qui concerne la demande de travail. Une moindre intention d'embaucher se lie avec l'expectative de possibles plateaus adverses (chute des revenus, contraction de la consommation ou même un possible épisode de crise économique), mais il aussi pourrait refléter une augmentation de la tension en dit marché en raison de la difficulté pour trouver candidats appropriés.

Afin de saisir cette dimension prospectiva, le sondage comprend des questions spécifiques sur l'intention future des entreprises encuestadas d'ouvrir nouvelles positions de travail, conforme échantillon le suivant graphique.

La prédisposition pour embaucher se manifeste de façon diverse d'après s'agisse de de les entreprises qu'ils ont récemment créé des nouveaux procès d'embauche (dans 2 les derniers ans) ou de celles-là qu'ils ne l'ont pas fait. Dans le premier cas, la proportion d'entreprises qu'ils anticipent ne réaliser des nouvelles embauches s'estabiliza autour du 30 %, comme indique la ligne continue, c'est-à-dire, autour du 70 % de ces signatures oui ont intention de mener à terme embauches prochainement. Les entreprises qui ont une dynamique active dans le marché de travail ils sont plus propensas à continuer à embaucher personnel que celles-là que ne réalisent pas des embauches depuis longtemps.

Dans le deuxième cas, entre les entreprises qu'ils n'ont pas ouvert récemment procès d'embauche, se remarque une augmentation soutenue dans la proportion d'entreprises que ne plane pas ouvrir des nouvelles vacances dans le futur prochain avec le pas des ans. La ligne discontinue révèle un clair profil ascendant, ce que dénote une croissante reticencia à élargir ses plantillas. En concret, quelque chose plus de 75 le % des entreprises de l'échantillon qu'ils n'ont pas réalisé des embauches récemment il non plus attend incorporer nouvelle main d'oeuvre prochainement. 

Depuis une perspective sectorielle, représentée dans le suivant graphique, les résultats ils montrent que les entreprises avec majeure prédisposition à embaucher dans les dernières éditions du sondage appartiennent principalement aux secteurs de l'eau et l'énergie, ainsi que au d'hôtellerie et tourisme, tous les deux avec promedios dans la période 2023 - 2025 supérieures au 69 %. La figure présente la proportion d'entreprises que prévoient réaliser des nouvelles embauches, segmentadas par secteur d'activité —représenté par les barres horizontales—, édition du sondage et expérience récente en procès d'embauche —indiquée moyennant des triangles si ont créé procès d'embauche dans les deux ans antérieurs, et rombos, sinon ont récemment embauché—.

Ainsi, par exemple, dans l'édition la plus récente du sondage ( 2025 ), le % 64 du total d'entreprises du secteur d'hôtellerie prévoit réaliser des nouvelles embauches. Pourtant, cette proportion varie significativement selon son historial prochain: seulement le % 35 des entreprises que n'avaient pas initié procès d'embauche récemment prévoit incorporer personnelle, face au 74 % de celles-là qu'ils ont oui ouvert procès de sélection en les derniers deux ans.

En contraste, les secteurs de l'agriculture et les services (en excluant hôtellerie et tourisme) ils présentent une moindre disposition à embaucher, avec promedios proches au 50 % et même une tendance à la baisse dans les derniers ans.
Additionnellement, on peut signaler que dans la dernière édition du sondage ne se remarque pas aucun secteur avec plus de 80 le % d'entreprises décidées à créer nouveaux procès d'embauche entre celles-là que l'ont déjà fait antérieurement. Dans ce sens, les compagnies du secteur agricole ils présentent le pourcentage le plus réduit dedans de ce groupe.

Il est important nuancer que, à échelle sectoriel, un grand pourcentage d'entreprises disposées à embaucher n'implique pas nécessairement qu'il existe prévision d'une majeure croissance économique. Dans quelques cas, cette situation il peut répondre plus à l'élevée temporalité et roulement de personnel que caractérise à certains secteurs, comme la construction ou l'hôtellerie, ce que il indique une préposition soutenue de vacances, plus que une expansion de personnel. À son tour, une élevée et récurrente volonté d'embaucher pourrait être liée avec des tensions du marché de travail, en raison de que les entreprises ils ne trouvent pas des profils appropriés pour ses positions et doivent maintenir ouverts les procès d'embauche pendant plus de temps. 

En relation avec ceci dernier, devant la possibilité de que part de la grande prédisposition à embaucher -référent aux triangles noirs dans l'antérieure figure- répondez à procès de sélection encore ouverts faute de de les candidats appropriés —ce que il refléterait une majeure tension dans le marché de travail—, le suivant graphique montre la proportion d'entreprises qu'il prévoit réaliser des nouvelles embauches en fonction de l'estimation qu'ils font sur les concurrences des candidats que postularon récemment. Comme peut se remarquer, en promedio, les entreprises de l'échantillon qu'ont estimé de forme plus négative aux aspirants tienden à maintenir une majeure intention d'embaucher. Ceci suggère que, au ne trouver des profils appropriés pour couvrir ses vacances, beaucoup de compagnies se voient obligées à maintenir ouverts ses procès de sélection. De cette manière, part de l'élevée propensión à embaucher des entreprises qu'ont récemment ouvert procès d'embauche serait liée avec des déséquilibres dans la qualification de l'offre de travail.

Tout au long du présent article ils se sont analysé les déséquilibres actuels du marché de travail espagnol, en utilisant comme axe principal les résultats obtenus à "partir de l'Étude de besoins formatifs et d'embauche", sondage développé par la Chambre de commerce de l'Espagne en collaboration avec le réseau cameral. Cette analyse a permis identifier a priori l'existence de quelques problèmes structuraux en des termes de formation et concurrences disponibles dans l'offre de travail face aux demandes réelles et concrètes du tissu des entreprises.

En premier lieu, est important souligner que les désajustements identifiés ne constituent pas une problématique ponctuelle ou coyuntural, mais que reflètent une tendance qu'il s'est accentué dans les derniers ans. Les données mettent en évidence qu'un grand pourcentage des entreprises encuestadas qu'avaient créé des recherches de candidats il éprouve actuellement des difficultés pour trouver candidats appropriés aux positions qu'offrent, particulièrement en des profils hautement spécialisés. Ce fait représente un défi stratégique, ne seulement pour les entreprises concernées, mais aussi pour l'ensemble de l'économie espagnole, à l'affecter négativement à la productivité, compétitivité et durabilité de la croissance économique à long terme.

Une des constats fondamentaux que se desprenden de l'analyse est la croissante brèche existante entre les concurrences acquises par les travailleurs et les habilités que les entreprises ils envisagent indispensables. Il souligne spécialement la préoccupation des entreprises par les dénommées soft-skills. De façon complémentaire, les résultats ils aussi visent à des manques significatifs en connaissances techniques spécifiques, particulièrement accusées en des entreprises de moindre taille, que disposent de ressources limitées pour attirer talent approprié et offrir formation interne complémentaire.
Un autre aspect remarquable/remarquable extrait de l'analyse est l'impact négatif de ces déséquilibres dans les prévisions d'embauche future par part des entreprises. En principe, ils sont les entreprises que pire ils estiment la capacité et habilité des candidats celles qui prévoient mener à terme des embauches prochainement. Le persistente désajustement entre offre et demande de talent et la difficulté pour trouver profils appropriés, semblent influer dans le besoin des entreprises en réaliser embauches périodiques. 

Depuis le milieu sectoriel, s'évidence que les difficultés et besoins spécifiques ils varient notablement selon l'activité économique. Également, les besoins du secteur construction et l'hôtellerie et tourisme, particulièrement actif en des termes de prédisposition à embaucher, pourraient refléter une grande temporalité et roulement de travail. Ces particularités exigent politiques de travail et formatives personnalisées.

L'analyse selon la taille des entreprises aussi révèle des importantes nuances. Bien que les grandes entreprises tienden à raconter avec des meilleures ressources pour saisir talent, paradoxalement, font face à des majeures difficultés pour couvrir positions hautement spécialisées, ce que il pourrait se devoir à la croissante sophistication et complexité de ses procès opérationnels. D'autre part, les micro et petites entreprises ils souffrent spécialement les conséquences de la brèche formative, dérivée principalement de ses limitations en diffusion, sélection et attraction de candidats.

Le débat que se desprende de ces constats est ample et il ouvre diverse questions importantes pour la réflexion collective et la recherche future:

•    ¿Comment Il se pourrait réformer le système éducatif et de formation professionnelle pour l'aligner efficacement avec les besoins du marché de travail actuel et futur?
•    ¿Comment Ils peuvent intervenir les acteurs publics et privés dans la création d'une stratégie conjointe de capacitation de travail, capable de réduire les déséquilibres existants en concurrences spécifiques et générales?
•    ¿Il serait possible établir des stimulants efficaces pour que les entreprises -spécialement PMEs - puissent améliorer son accès à des profils hautement capacités?
•    ¿Quel papier ils peuvent jouer les nouvelles technologies, la digitalización et la formation continue tout au long de toute la vie de travail dans la réduction de ces désajustements?

Pour devancer dans cette direction, résulte prioritaire parier sur des politiques intégrales qu'ils impliquent autant à des institutions publiques comme privées, en comprenant le secteur éducatif et des entreprises, ainsi qu'établissements tu interviens comme les propres Chambres de commerce. Il se fait indispensable promouvoir la collaboration public-privée dans l'identification anticipée de besoins formatifs, établir des systèmes efficaces d'orientation de travail, et stimuler des programmes spécifiques qu'ils permettent une formation une plus ajustée à la réalité productive du pays, en générant un marché de travail plus dynamique, juste et compétitif, et en asseyant les bases pour une croissance économique soutenu et soutenable dans le long terme.

Service Public d'Emploi De l'État – SEPE ( 2024 ). Tendances du Marché de Travail en Espagne 2024 . Observatoire des Occupations.

Torres, R. Et Fernández, M.J. ( 2024 ). Défis du marché de travail espagnol. Cahiers d'Information Économique, nº 299 (mars-avril 2024 ). Ed. FUNCAS.