Traducción automática
El presente sitio Web está traducido a varias lenguas españolas oficiales en sus respectivos territorios, de conformidad con lo establecido en el artículo 3 de la Constitución Española de 1978 y sus Estatutos de Autonomía.
Las lenguas son el catalán, el euskera, gallego, valenciano, inglés y francés. Se advierte que, con carácter general, puede existir un desfase entre la versión en castellano y en las otras lenguas, derivado del proceso de traducción a las mismas.
24 . Mon accord secret (Pièce de théâtre-musical)
Il me plaît penser que celle-là tard-nuit du 21 de septembre de , 1934 lorsque je suis arrivé à ce monde, pleuvait. Je veux croire que la vie m'a reçu avec sa musique, avec le son intense, soutenu et grave d'une pluie d'automne, comme un je présage futur de comment il serait la couleur de ma voix.
Ils m'ont baptisés comme Eliezer ben Nissan Hacohen, bien que celui-là est mon nom religieux, le juif, mais pour le reste du monde finirai en étant connu comme Leonard Norman Cohen.
Mes yeux ont vu la lumière en Westmount, un petit quartier de Montréal, en Canada. Là, dans l'avenue Belmont, en el número 599 est notre foyer, une petite mais accueillante maison de deux plantes à celle que s'accède à travers un étroit chemin de pierres que divise le modeste jardin en deux. Un frondoso arbre nous trinque sa remerciée ombre chaque été.
Ma mère est Marsha, Marsha Klonitsky, la fille du rabino Solomon Klonitsky-Kline dont la famille conserve encore ses racines lituaniennes.
Mon père, fils de Lyon Cohen un émigrant polonais, est Nathaniel Cohen, un homme travailleur que madruga à quotidien pour diriger l'entreprise familière.
Comme beaucoup de familles juives, la à moi il traîne dans son sang une origine émigrante et la charge d'un passé religieux. Mon père proclame fier qu'il, et par autant moi aussi, nous descendons du propre Aaron, le je ajoute prêtre, le frère de Moisés.
Et il ainsi le témoigne notre nom, “Cohen”, qu'en hebreo signifie “prêtre”. Un métier, ou mieux dit un statut, que le propre Dieu a accordé, par première fois, à Aaron et avec il à tous ses descendants hommes. Avec cette conviction j'ai commencé à grandir, avec la valeur et la sagesse que mes ancêtres ils m'ont transmis génération après génération, une sagesse que j'ai consacré à mes poèmes et mes chansons, comme tout le monde sait.
Ma première rencontre avec la tristesse, qu'après ne m'abandonnerait jamais, il a été lorsqu'il avait neuf ans. Celui-là a fini en étant un des ans les plus obscurs de ma vie.
J'ai perdu à mon père! Il était hiver, il tombait la neige et, comme dans un acte poétique, sans des témoins, je suis entré dans sa chambre. J'ai ouvert l'armoire et j'ai pris une de ses cravates de lien.
Les larmes parcouraient mon visage en trempant le papier dans lequel essayait écrire avec mes petites et trémulas mains. Ils étaient mes derniers mots pour il. Je suis sorti de la maison, je suis tombé de genoux sur la neige et, aidé d'une pierre, j'ai ouvert un profond creux dans le sol.
Le corps me tremblait, peut-être par le froid, peut-être par la tristesse. Avec tout mon amour j'ai placé dans le trou cette cravate, que tellement fois avait vu porter à mon père, et sur elle ma note d'au revoir.
Se que lorsqu'aujourd'hui, tellement ans après, quelque groupe de touristes il s'arrête face à la vieille maison familière ses yeux ils scrutent avec curiosité la cour, en attendant trouver quelque indice d'où, où j'ai pu enterrer sa cravate de lien. Mais ce secret, comme tellement autres, se perdra avec moi. ils ne la vont jamais à trouver!
Il courait 1943 . Dans ce même an s'a écrit une chanson que temps après versioné. Son titre? “La complainte du Partisan”, “La lamentation du Partisano”, une chanson qui évoquait dans mon esprit images de la guerre civile espagnole, de la persistente résistance française, des champs de concentration allemands…
J'ai toujours pensé et, vous me l'aurez sûrement écouté dire dans quelque entretien, “que les nazis ont été abattus par la musique”.