Compte rendu
Le changement technologique transforme les marchés de travail. L'usage de nouvelles applications et outils génère des changements dans les tâches que mènent à terme les travailleurs, la forme comme s'organise le travail et la quantité et le type d'emploi disponibles. Cet article explique comment trois des principaux vectores de changement technologique de l'ère digitale (l'automatisation du travail, la digitalización de procès et la plataformización du travail) affectent à l'emploi. Nous voyons que l'usage de nouvelles technologies, comme les robots industriels, ne promeut pas la destruction d'emploi à grande échelle, à la paire que promeut des accroissements dans la productivité de travail; que le changement technologique ne promeut pas l'existence d'un patron universel de polarisation ocupacional, mais qu'existe une variété patrons entre lesquels il souligne le de amélioration ocupacional; que la digitalización a permis l'extension du teletrabajo, bien que racontons même avec des barrières de type culturel et organisationnel qu'empêchent sa majeure extension; et que la pre valencia de l'emploi en des plate-formes est encore petite, bien que quelques des formes d'organisation du travail propres des plate-formes digitales ils se sont étendu à toute classe d'emplois. Cette plataformización du travail est en train de générer des nouveaux risques et des occasions.
Le constat principal est que les nouvelles technologies ont une capacité transformadora, au lieu de générer clairs impacts disruptivos. Ceci se doit à que l'impact du changement technologique est intervenu par autres facteurs, tels comme les changements sociodemográficos, la régulation et les créations institutionnelles ou l'organisation du travail, motif pour lequel rejetons des visions deterministas. Que nous soyons capables de nous bénéficier du potentiel qu'il offre la technologie ou nous nous limitions à souffrir ses effets négatifs il dépend, en dernier terme, des politiques qu'ils se développent, la forme comme se règlent les relations de travail et nouvelles formes de travail et la forme comme s'organise le travail.
Abstract
Technological change transforms labour markets. The use of new applications and tools brings about changes in the tasks performed by workers, the organization of work, and the quantity and type of available employment. This article explains how three key vectors of technological change in the digital era (automation of work, digitization of processes, and platformization of work) impact employment. It is observed that the use of new technologies, such as industrial robots, is not leading to widespread job destruction, while promoting increases in labor productivity; that technological change does not promote the existence of a universal pattern of job polarization but rather a variety of patterns, with job upgrading standing out; that digitization has facilitated the expansion of telework, although cultural and organizational barriers still hinder its wider adoption; and finally that the prevalence of platform work is still relatively small, although certain work organization forms typical of digital platforms have spread across various types of employment. This platformization of work is generating new risks and opportunities.
Our main conclusion is that new technologies have a transformative capacity rather than generating clear disruptive impacts. This is because the impact of technological change is mediated by other factors such as sociodemographic changes, regulation, institutional designs, or work organization, which is why deterministic views are rejected. Whether we can benefit from the potential offered by technology or are limited to suffering its negative effects ultimately depends on the policies developed, on how work is organised and on how labour relations and new forms of work are regulated.
1 . Introduction: technologie et emploi dans l'ère digitale
Le propos de cet article est lancer lumière sur quelques des principales transformations que sont en train d'arriver dans le marché de travail dans l'ère digitale. Les résultats que nous examinons à part sont fruit du développement d'une agenda de recherche que porte active plus de six ans dans le Centre Commun de Recherche de la Commission Européenne, et qu'il s'est centré dans la relation entre changement technologique et emploi, en abordant aussi autres facteurs comme les changements regulatorios ou démographiques.
Le programme de travail que nous avons développé s'est autour structuré de trois grands vectores de changement, qu'envisageons ils sont les principales formes dans lesquelles les technologies digitales sont en train d'affecter au monde du travail -pour plus de détails, voir Fernández-Macías ( 2018 )-:
1 . L'automatisation du travail: ceci est, le remplazo de la force de travail humaine par part de nouveaux outils et technologies pour développer quelques tâches, ainsi que l'analyse de comment ceci change la division du travail et les structures ocupacionales.
2 . La digitalización de procès, en nous centrant en comment l'usage d'outils digitaux en des contextes de travail transforme la nature du travail.
3 . La ‘plataformización’ du travail, que se rapporte à l'usage croissant de plate-formes digitales d'emploi et de mécanismes de gestion algorítmica du travail.
Ce programme de travail se rapporte surtout au contexte européen en des termes comparés, mais dans cet article nous agissons de mettre l'accent sur le cas de l'Espagne dans la mesure que les données ils le permettent. Dans les suivantes pages nous agissons d'aborder quelques des principaux débats autour du futur de l'emploi, en comprenant questions comme l'impact de l'usage de robots en des termes d'emploi et productivité (promeuvent les robots la création d'emploi ou la penalizan? Il promeut son usage augmentations dans la productivité de travail?); La forme comme la technologie et autres facteurs ils sont changé la division du travail et les structures ocupacionales (a avoir polarisation de travail ou procès d'amélioration ocupacional?); L'extension et pre valencia du teletrabajo ou l'émergence de nouvelles formes de travail (est en train d'augmenter l'emploi de plate-formes? Il s'est en développant l'usage d'outils digitaux et d'algoritmos avec des fins de travail?). Notre but est double. D'abord, nous voulons apporter clarté conceptual dans un débat souvent plagado d'arguments et idées frappantes mais imprécises. Seconde, nous agissons de remettre en question quelques de ces arguments avec évidence empirique et données nouvelles et originales. Ainsi, nous attendons que cette nouvelle information servez pour consolider un débat informé et que, de cette manière, nous puissions soutenir en dernière instance au développement de politiques et la prise de décisions publiques avec évidence indépendante et robusta.
2 . L'automatisation de l'emploi: les robots, alliés des travailleurs
Nous portons des décennies en écoutant de forme récurrente que les nouvelles technologies sont capables d'exécuter tâches que jusqu'à maintenant tellement seul nous étions capables de mener à terme les humains, et que par vont autant provoquer en bref un remplacement d'emplois à grande échelle. Indubitablement, ils existent des activités pour lesquelles il a avoir remplacement d'emploi par des machines: pensez-vous, par exemple, dans l'utilisation de machines automatisées pour le traitement et emballé de nourritures, ou dans l'usage de robots en des lignes d'assemblage pour réaliser tâches repetitivas et précises, comme les liées avec la soldadura, la peinture ou le montage. Avec fréquence s'allègue que ces procès d'automatisation pourraient, dans un futur prochain, conduire à une situation de chômage massif, puisqu'une grande part de la main d'oeuvre laisserait d'être nécessaire. Pourtant, malgré le fait que ce type d'arguments apocalyptiques ils ont proliferado en des milieux et même dans quelques cercles académiques (un phénomène aussi connu comme l'anxiété par l'automatisation), l'histoire récente de l'Europe en relation avec ceci est, fondamentalement, une histoire positive.
En utilisant la base de données internationale plus détaillée et riche sur des robots dans l'industrie, développée par la Fédération Internationale de Robótica (IFR), développons une série de recherches que révèlent le suivante -plus info sur ces recherches en Torrejón Pérez et au. ( 2020 )-:
• D'abord, que les robots actuelsne sont pas une technologie générique et d'application ample, mais une technologie très spécialisée, usée fondamentalement en déterminés subsectores industriels (Fernández-Macías et au. 2021 , Klenert et Au. 2022 ). La densité de robots est tellement seule grande dans l'industrie de l'automobile, et à une moindre échelle en la de plastiques et métal (graphique 1 ). Dans autres secteurs industriels, ainsi que dans la totalité des services, les robots sont rarement employés.
Source: Klenert et au. ( 2022 ), Avec des données de la World Robotics database
• Seconde, que l'impact qui a l'usage de robotsen des termes d'emploi est normalement petit, et tiende à être positif, ainsi que montre le graphique 2 . Pour la période 1995 - 2017 et le cas de l'Europe, Klenert et au. ( 2022 ) Ils trouvent une corrélation positive entre l'adoption de robots et l'emploi total. 1 Cependant, les résultats en la littérature sont mixtes, et tienden à varier de négatifs à positifs selon la période analysée (Antón et au. 2022 ) Ou les spécifications des modèles
Seuls secteurs manufactureros. 14 Pays: AT, BE, DE, DK, EST, FI, FR, GR, IE, IT, NL, PT, SE, UK. Source: Klenert et au. ( 2022 ), World Robotics database Et l'EU-LFS.
La leçon la plus importante qui s'extrait de ces études il est, cependant, que les effets qui se trouvent tienden, dans la majeure part des cas, à être très petits. C'est-à-dire, ces résultats n'encajan avec la croyance populaire de que les robots détruisent des emplois à grande échelle. En fait, comme montrent recherches récentes (Klenert et au. 2022 ), L'usage de robots industriels a été un facteur associé à la majeure resiliencia qu'ont montré quelques subsectores industriels, avec les industries qu'ont plus installé des robots en maintenant ou même en augmentant les niveaux d'emploi en Europe en des ans récents.
• En troisième lieu, qu'alors que les effets en des termes d'emploi ils sont petits, comme anticipions préalablement, se sont documenté clairs impactspositifs de l'usage de robots en des termes de productivité: dans la période 1993 - 2015 , l'usage croissant de robots a contribué à la croissance de la productivité de travail dans l'industrie européenne. Jungmittag Et Pesole ( 2019 ) montrent un clair effet positif qu'est consistant avec les résultats d'autres recherches préalables (Jäger et au. 2016 , Dauth et Au. 2017 , Graetz and Michaels 2018 , Koch et Au. 2019 , Dauth et Au. 2021 ). Cet impact positif varie selon des secteurs, en étant plus intense dans les industries avec une densité de robots majeur (graphique 3 ). Ceci met en évidence que les robots doivent obtenir une masse critique pour développer son majeur potentiel.
Fuente: Jungmittag & Pesole ( 2019 ) with data from IFR ( 2017 ) and EUKLEMS ( 2017 )
Toutes ces leçons, prises en ensemble, mettent en évidence que les effets positifs dans l'emploi de l'usage de robots dans l'industrie priment sur ses supposés effets négatifs. D'abord parce qu'il s'agit de de les technologies très localisées, usées dans quelques peu de secteurs déterminés, et que n'ont pas un effet négatif en des termes d'emploi. Seconde parce qu'ils affectent positivement à la productivité de travail, raison pour laquelle ils peuvent faire dans quelques cas qu'il augmente la demande et l'emploi dans autres secteurs. En conséquence, nous envisageons que les mesures destinées à desincentivar l'investissement et l'usage de robots dans le lieu de travail (comme les impôts aux robots) n'ont pas trop sens, raison pour laquelle nous non plus attendons des retours positifs d'elles.
1 . Seuls secteurs manufactureros.
3 . Changements dans la division du travail à niveau globale: polarisation et amélioration ocupacional
Le changement technologique aussi se mentionne souvent comme le facteur le plus remarquable/remarquable à l'heure d'expliquer les changements dans la division de travail et les structures ocupacionales. Selon la théorie connue comme Routine-Biased Technical Change -RBTC- (Auteur et au. 2003 ), Les nouvelles technologies provoqueraient des patrons de polarisation ocupacional que se correspondent avec une croissance de l'emploi le plus intense dans les deux bouts de la distribution salariale (autant en des emplois de majeure qualité et mieux payés, comme en les de pire qualité et pire payés) et plus faible dans la part intervient. D'accord avec cette hypothèse, cela se doit à que les nouvelles technologies ils ont potentielle pour remplacer emplois administratifs ou industriels qui sont intensifs en des tâches de type rutinario et repetitivo, et que tienden à se placer dans la part centrale de la distribution salariale. Étant donné que le changement technologique est le facteur à celui que plus attention ils ont prêté les recherches sur changement ocupacional, s'y a tendido à associer avec la polarisation de l'emploi. Également, étant donné qu'il s'attend que la technologie ait un développement et des impacts similaires en beaucoup de pays (au moins dans le monde développé), il s'attend aussi que la polarisation ocupacional soit un phénomène plus ou moins universel. Pourtant, cette recurrencia dans le diagnostic se doit aussi à que le cas le plus analysé a été le de les États-Unis, paradigme de la polarisation ocupacional, et cas à partir duquel se sont souvent extrapolé precipitadamente résultats et tendances aux expériences d'autres pays.
En contraste avec cette hypothèse, dans les derniers ans nous avons contribué à une série de recherches qu'ils mettent en question que la polarisation ocupacional ait tellement été généralisée, en introduisant nuances importantes dans le débat. Ces recherches défendent que le changement technologique n'est pas l'unique facteur qu'il promeut des changements dans l'emploi: bien que il est sans doute un facteur explicatif très remarquable/remarquable, autres facteurs, comme les changements dans le commerce international, démographiques, en la réglementation et les régulations, ils ont aussi la capacité d'affecter à l'évolution de la structure ocupacional. C'est pourquoi, et étant donné que ces autres facteurs ont caractéristiques et développements divers en des diverses régions et pays, il est normal que nous trouvions une variété de patrons de changement ocupacional tellement à niveau national (Oesch and Rodríguez Menés 2011 , Hurley et au. 2021 , Torrejón Pérez et au. 2023 ) Comme régional (Hurley et au. 2019 , Bord-Toscano et au. 2022 ). En appliquant cette approche multidimensional, les principales trouvailles que nous avons obtenu sont les suivantes:
1 . Qu'il n'existe pas uniformité, mais que nous trouvons une variété de patrons de changement ocupacional, autant à niveau national comme régional et tout au long de de les diverses périodes.
2 . Que, dedans de cette variété et dans le long terme, le patron de changement ocupacional plus visible à échelle globale est le de amélioration ocupacional: ceci est arrivé, dans les derniers décennies, dans la majeure part des pays européens (Oesch and Piccitto 2019 , Torrejón Pérez et au. 2023 ), le Canada (Willcox and Feor 2023 ), Mexico, l'Argentine et le Chili (Maurizio et au. 2023 ), le Brésil (Rodrigues Silveira 2023 ), l'Inde (Sarkar and Torrejón 2023 Pérez ) et la Russie (Gimpelson and Kapeliushnikov 2023 ). En revanche, les États-Unis (Dwyer 2023 ), la Corée du Sud (Hong 2023 ) et la France (Torrejón Pérez et au. 2023 ) Ils ont éprouvé polarisation ocupacional.
Nota: cambio neto en el número total de empleados desde el inicio al final de cada periodo. Fuente: Torrejón et al. ( 2023 ), con datos de la EU-LFS y SES
A escala global y en el largo plazo, si observamos el cambio ocupacional en las primeras décadas del siglo XXI, vemos que la mayor parte de los países han experimentado procesos de mejora ocupacional. Esto se debe a varias causas, de entre las que destacan: la terciarización de la economía (en las últimas décadas se ha destruido mucho empleo agrícola, manufacturero y de la construcción, mientras ha aumentado el peso de los servicios tanto en términos absolutos como relativos), así como el aumento del nivel educativo de la población, la expansión de los servicios públicos y la incorporación de más personas en general, sobre todo mujeres, en sectores como la salud y la educación. Dado que todo esto ha ocurrido en muchos países a escala global (desde Europa hasta India, pasando por Latinoamérica o Rusia), es por eso que los patrones de mejora ocupacional prevalecen en el largo plazo a escala global, a pesar de las amplias diferencias institucionales y culturales.
Comme voyons dans le graphique 4 , l'Espagne n'est pas des pays que se sont plus bénéficié de ces procès d'amélioration ocupacional. Si il l'a fait jusqu'à ce qu'il a éclaté la crise financière globale, mais après il n'a pas laissé de souffrir certaines tensions polarizadoras. Comme dans autres pays, ceci se doit à que encore existent une série de facteurs, entre ceux qui soulignent les référents au création institutionnel et normatif, ainsi que à des décisions de caractère politique, qu'ils sont capables d'intervenir autres impacts, et de faire que quelques pays développez des patrons divers. De forme plus précise, en Espagne la polarisation ocupacional s'a dû d'abord à l'effet de la crise financière globale de , 2008 qu'a provoqué une grande destruction d'emploi localisée, surtout, dans le secteur de la construction et autres industries liées (Torrejón 2019 Pérez à, Torrejón 2019 Pérez b). Depuis 2011 , en revanche, les tensions polarizadoras s'ont dus fondamentalement au fait de que la création d'emploi public, secteur que tiende à promouvoir la création d'emploi bien rémunéré, s'a paralysé en raison de l'impact des mesures d'austérité imposées après la crise financière globale. Dans cette période, ils sont allé les services privés ceux qui ont généré plus emploi et dinamizaron l'économie, en étant ces nouveaux emplois localisés fondamentalement en les quintiles moyens et surtout le plus sous -ceci est, les emplois avec des moindres salaires- (Torrejón Pérez et au. 2023 ). Ceci a fait que l'Espagne se distançât de la tendance ajoutée européenne jusqu'à ce qu'a éclaté la crise du COVID- 19 , étant donné qu'autres pays européens continuèrent à se bénéficier de procès d'amélioration ocupacional entre une crise (la financière) et autrui (l'induite par la pandemia du COVID). La pandemia, en revanche, a eu le même impact en Espagne que dans la majeure part de pays à échelle globale: il a généré des pertes d'emploi localisées fondamentalement en les quintiles inférieurs (les emplois pire payés), alors que l'emploi continua à augmenter en les quintiles supérieurs (les emplois meilleur payés). C'est-à-dire, il a affecté plus à qui ils se trouvaient d'avance dans une situation une plus vulnérable. Dans la section 4 nous approfondissons sur quelques des causes de ce phénomène.
Comme voyons, à l'encontre de ce que défend l'hypothèse RBTC, la technologie n'a pas causé un patron uniforme de polarisation de l'emploi en des divers pays et tout au long de de les diverses périodes. En revanche, il se remarque une diversité de patrons, entre ceux qui il souligne le de amélioration ocupacional comme le développement le plus fréquent à échelle européen et globale. Les pays qui se distancent de cette tendance, où la polarisation continue à arriver, ils doivent ceci normalement au développement de réglementations plus souples et politiques desregularizadoras -cas des États-Unis dans le long terme (Dwyer 2023 ) ou de l'Allemagne dans le cas concret de l'arrivé pendant la phase expansive du cycle économique préalable à la crise financière globale (Torrejón Pérez et au. 2023 )-, À la promotion de la création d'emploi de basse qualité à travers le secteur public -voyez-vous les cas de la France (Ibid.) Et la Corée du Sud (Hong 2023 )- ou au fait de que se paralysassent les investissements et la création d'emploi public en des lieux où avait potentiel de générer emploi de qualité -comme le cas de l'Espagne, mais uniquement depuis 2011 (Torrejón Pérez et au. 2023 )-. Phénomènes qui avantagent que, dans ces lieux et en des termes relatifs, la création d'emploi de basse qualité il ait relativement été intense.
En définitive, dans le débat sur les changements dans la division de travail et les structures ocupacionales devons éviter à toute côte visions deterministas. En des lignes générales, l'augmentation du niveau éducatif, la terciarización, l'expansion des services publics et l'incorporation de la femme au marché de travail expliquent par qu'est-ce que il s'est crear tellement emploi de qualité en tout le monde , mais ne les différences entre pays et des régions en relation à ce que arrive avec les emplois de moindre qualité, en étant ceci ce que il détermine réellement qu'il y ait ou ne polarisation ocupacional. Pour expliquer ces différences nous devons prêter plus attention, en revanche, à des facteurs de caractère institutionnel et politique.
Bien que l'Espagne (ou, surtout, les États-Unis, la France ou la Corée du Sud) n'ait pas éprouvé jusqu'à aujourd'hui procès tellement soutenus d'amélioration ocupacional comme autres pays, la possibilité de que le fasse dans le futur est dans nos mains et il dépend, en grande mesure, de la forme dans laquelle nous réglions, nous organisions le travail et nous gérions les politiques publiques.
1 Voyez-vous le chapitre 4 en (Torrejón Pérez et au. 2023 ) Pour illustrer sur ceci dans le cas de l'Europe
4 . La expansión del teletrabajo: de la viabilidad técnica a las barreras organizativas
Le changement technologique de forme générale, et de forme plus précise la digitalización, ont aussi été prerrequisito pour l'expansion du teletrabajo dans les derniers ans, bien que est évident que sa généralisation subite en tout le monde en 2020 s'a dû fondamentalement à la pandemia dérivée de la COVID- 19 . Cependant la digitalización a généré les conditions nécessaires pour que cette transformation pût avoir lieu, ainsi que pour que les marchés de travail pussent ils démontrassent pendant les mois et des ans postérieurs une majeure resiliencia.
Selon Eurostat, avant de la pandemia (en 2019 ), dans l'UE 27 tellement seule un 5 . 4 % Du total d'employés ils travaillaient habituellement depuis maison, en s'agissant d'un chiffre qui se maintenait soutenu depuis 2009 . Pendant la pandemia ( 2020 et 2021 ), ce pourcentage est monté jusqu'à un 12 - 13 %, estabilizándose en 2022 autour du 10 % (le double de la valeur pre-pandemia). La pre valencia du teletrabajo varie beaucoup entre des secteurs et des occupations, en étant particulièrement grande dans les services intensifs en connaissance et les liés avec les technologies de l'information et la communication (TIC). Cette inégalité a son reflet économique: l'accès au teletrabajo est beaucoup plus ample entre les travailleurs avec des majeurs revenus. Évidemment, ces différences se doivent, au moins en partie, à que les activités et tâches en quelques secteurs et des occupations ne sont pas susceptibles, depuis le point de vue logistique et technicien, de se développer de forme lointaine. Pourtant, il y a autres barrières de type culturel et organisationnel qu'ils expliquent la différence en la pre valencia entre des secteurs et des occupations, ainsi que le fait de que son application, en générale, ne soit pas plus étendue:
• Nous savons que le teletrabajoest beaucoup plus habituel dans quelques occupations qu'en autrui, même lorsqu'ils requièrent un usage également intensif d'ordinateurs et outils digitaux. Par exemple, ils sont claires les différences dans ce sens entre des travailleurs d'attention au client ou oficinistas (avec des niveaux de teletrabajo relativement bas), d'une part, et les dirigeants et professionnels par l'autre (avec des niveaux très grands). En général, occupations avec plus de niveau d'autonomie dans le travail (moins sujettes à monitorización et contrôle direct) tienden à amuser de meilleures options de teletrabajo.
• Ainsi, le divers poids qu'ils ont les occupations et secteurs susceptiblesde se développer de forme lointaine en des divers lieux il explique part des différences entre pays. Ainsi, alors que le teletrabajo est relativement fréquent en quelqu'uns des pays où les services intensifs en connaissance et les activités liées avec les TIC ils ont plus poids (comme les pays nordiques, les Pays-Bas, la Belgique ou le Luxembourg), il est très peu de fréquent en pays où le poids de ces occupations est moindre (comme la Roumanie, l'Italie, la Grèce, la Croatie, l'Hongrie ou l'Espagne), comme échantillon le graphique 5 .
Note: pourcentage sur le total d'employés. Source: Sostero et au. ( 2023 ), EF COVID survey
• L'autre part des différences régionales et entre pays ils l'expliquent, de nouveau, facteurs de type culturel et organisationnel. Nous savons que la pre valencia du teletrabajo entre pays est très diverse même lorsque nous comparons les mêmes secteurs: en Suède ou les Pays-Bas, par exemple, plus de 60 le % des travailleurs de services intensifs en connaissance teletrabajaban en 2018 , face au 30 % que faisait le même en Italie (Milasi et au. 2020 ).
Que cette forme de travail s'étendez ou il ne dépend pas ne seulement de sa viabilité technique, mais aussi des styles de gestion et supervision (qu'ils douent de majeur ou moindre autonomie au travailleur), la forme en que s'organise le travail, les politiques nationales en relation à des aspects comme la flexibilité dans le travail, la distribution de l'emploi selon la taille de l'entreprise (le teletrabajo est plus probable en des entreprises grandes), la taxe d'autoempleo (les auto-entrepreneurs teletrabajan plus), les habilités digitales pour peu que raconte la population, etc. Tous ces facteurs expliquent part des différences entre pays, et sont ceux qui ils font que la pre valencia de teletrabajo enfin soyez, en toutes les occupations (et en divers degré selon le pays), mineur que la capacité technique des mêmes pour développer le travail de forme lointaine, comme voyons dans le graphique 6 .
Note: pourcentage sur le total d'employés. Source: Sostero et au. ( 2023 )
Tras la pandemia, el teletrabajo se expandió en todo el mundo y de forma más intensa en los países desarrollados (véase de nuevo el gráfico 5 ), donde los servicios intensivos en conocimiento y que requieren del uso de herramientas digitales tienen más peso. Pero de nuevo, incluso dentro de unos mismos países aumentó de forma muy desigual, ya que esas expansiones tuvieron lugar fundamentalmente en el tipo de trabajos en que era técnicamente posible: por ejemplo, para los trabajadores de oficina y profesionales cualificados. En cambio, los trabajadores manuales, así como aquellos que desarrollan su actividad de cara al público y/o el cliente, no se pudieron beneficiar de ese cambio en la forma y localización del trabajo (gráfico 6 ). En este sentido, el efecto del potencial de teletrabajo durante la crisis fue desigual y regresivo: mientras que quienes trabajan con ordenadores y herramientas digitales, normalmente en ocupaciones profesionales y técnicas bien remuneradas, pudieron seguir trabajando desde casa, el resto, que contaban de antemano con peores ingresos, vieron cómo su actividad se paralizaba durante meses para luego continuar con algunas limitaciones (Fana et al. 2020 a, Fana et al. 2020 b).
À façon de constat, nous pouvons établir que la digitalización en générale, et le teletrabajo de forme particulière, font que l'emploi soit plus resiliente. Ceci est, ils permettent que l'activité économique continuer à se développer même en devant des situations adverses, comme s'a démontré lorsque se sont imposés des fermetures forcées de l'activité et mesures de distanciamiento sociale. Pourtant, ne tous les travailleurs se bénéficient de ceci. Comme en tellement autres occasions, la digitalización offre une armoirie à quelques travailleurs (normalement qualifiés), et dans ce plateau les plus desprotegidos sont qui ils s'occupent en des emplois de basse qualité et salaires bas.
Nous avons enfin vu que, bien que les caractéristiques techniciennes des emplois expliquent en partie des différences en la pre valencia du teletrabajo tellement entre des occupations comme entre pays et des régions, y a des facteurs de type culturel, institutionnel et politique qu'ils avantagent ou desincentivan cette forme de travail. En conséquence, les actions pour promouvoir ou régler cette forme de travail ils ne peuvent pas se centrer uniquement dans les aspects simplement techniques, puisque ceux-ci sont largement intervenus par la politique, la forme comme réglons les relations de travail et la forme comme organisons le travail.
5 . Nouvelles formes de travail: l'emploi en des plate-formes et la plataformización du travail
5 . 1 . Pre valencia Et caractéristiques de l'emploi en des plate-formes
Depuis 2017 , à travers le sondage COLLEEM, sommes allé des premiers en estimer le poids de l'emploi en des plate-formes à niveau européen et en lancer lumière sur le profil socio-économique et les conditions de travail de ces travailleurs. Nous comprenons comme des plate-formes de travail digital à des réseaux digitaux qu'utilisent technologie, comme algoritmos de logiciel et analyse de données, pour relier aux travailleurs avec des clients, gérer des attributions de travail et transactions et supervisar le rendement des travailleurs. Travailler en des plate-formes de travail digital il offre quelques avantages et des désavantages:
• Il peut offrir des occasions à ceux-là qu'affrontent discrimination dans les marchés de travail traditionnels, puisque souvent les clients ne connaissent pas le genre, l'âge, l'éducation, l'etnia ou l'orientation sexuelle du travailleur/à. Le travail en des plate-formes aussi peut permettre un grand degré de flexibilité et autonomie que beaucoup d'ils peuvent trouver souhaitables.
• Pourtant, les plate-formes digitales aussi peuvent avoir des coûts et des risques pour les travailleurs: en premier lieu, les travailleurs de plate-formes ils sont dans bien des cas embauchés comme des auto-entrepreneurs, et cela malgré le fait que les conditions de travail de ces personnes se ressemblent plus à les des travailleurs salariés. À la suite de cela, est possible qu'ils ne soient pas couverts par droits de travail basiques, comme des baisses par maladie, vacances, salaire minime, droits de pension et similaires 2 , bien que à niveau législatif tellement en Espagne comme en Europe il se soit en agissant sur ce thème. Deuxièmement, les algoritmos que président les plate-formes digitales ils se basent sur le résumé et traitement de grandes quantités de données, ce que il peut représenter une menace pour le caractère privé des travailleurs.
Selon COLLEEM II (Urzì Brancati et au. 2020 ), En 2018 et de promedio en Europe 3 tellement seul autour d'un 1 . 4 % De la population en âge de travailler a travaillé en des plate-formes comme sa forme principale d'emploi 4 . Pourtant, la proportion de gens que quelque fois a développé cette classe de services il est majeur: les travailleurs secondaires de plate-formes (ceux-là qui développent cette classe de travail, mais ne comme sa forme principale d'emploi) 5 représentaient un 4 . 1 % De la population en âge de travailler. Données 2021 d'et 2022 , obtenus à travers un nouveau sondage réalisée en Espagne et l'Allemagne (AMPWork), révèlent qu'ans après la pre valencia du travail de plate-formes, comme forme principale de travail, continuait à être similaire, ce que fait penser en un estancamiento de ce phénomène dans les derniers ans en niveaux bas mais significatifs, outre montrer qu'autant les plate-formes digitales comme l'usage d'outils digitaux dans le travail sont beaucoup plus communs en Espagne qu'en Allemagne (Fernandez Macias et au. 2023 ). l'Espagne est, cependant, le pays dans lequel y a une proportion majeure de personnes en âge de travailler qu'ont fourni quelque fois services de travail à travers des plate-formes digitales, comme démontre le graphique 7 .
Les successifs flots de COLLEEM ont permis définir de façon précise le profil des travailleurs de plate-formes: le travailleur typique tiende à être plus jeune, plus educado et plus propenso à habiter dans un foyer un plus grand, en des villes grandes et avec des fils dépendants. Les travailleurs de plate-formes aussi ont plus de probabilités d'être hommes et d'y avoir né dans l'étranger, spécialement si se consacrent à la réalisation de tâches présentielles, phénomène qui est allé en augmentant malgré le fait que la plupart des travailleurs de plate-formes en Europe ils trinquent des services lointains hautement qualifiés. Nous remarquons aussi que les conditions de travail des travailleurs de plate-formes sont très hétérogènes, en dépenant du type de travail réalisé, son intensité et fréquence. Cependant, il est important signaler que plus de la moitié des travailleurs qu'ils travaillent en des plate-formes comme principale forme d'emploi envisagent que son travail est souvent estresante.
5 . 2 . La plataformización du travail: gestion algorítmica et contrôle des travailleurs
Bien que le travail en plate-formes est un phénomène relativement petit, dans les derniers ans nous sommes en train de remarquer que quelqu'unes des formes d'organisation du travail propres des plate-formes digitales se sont en étendant à toute classe d'emplois. Ce phénomène, que nous dénommons plataformización du travail, affecte fondamentalement à des travailleurs qu'utilisent des outils digitaux et ils sont des sujets à un vrai degré de gestion algorítmica. Ce dernier terme se rapporte à l'usage d'outils et procédures algorítmicos pour la coordination du travail. La gestion algorítmica peut changer de façon sustancial l'organisation du travail (Baiocco et au. 2022 ). D'une part, il peut améliorer les procès productifs, en générant gains d'efficacité et améliorations dans la productivité. Par autrui, ce type de gestion tiende à standardiser le travail, centralizar la prise de décisions et augmenter le degré de contrôle sur les travailleurs, et tout ceci pourrait socavar la qualité de l'emploi et l'autonomie des travailleurs, en augmentant les risques psicosociales dans l'environnement de travail. Il est important avoir en compte aussi que la plataformización du travail implique un majeur degré de contrôle et supervision digitale des travailleurs, ce que peut se traduire dans un dégât de son caractère privé et autonomie.
Par tout cela, résulte de plus en plus évident que la plataformización du travail peut avoir des importantes conséquences socio-économiques et regulatorias qu'est nécessaire connaître meilleur. Par cette raison, nous avons agi de développer des nouveaux indicateurs et des mesures sur la pre valencia et effets de la gestion algorítmica du travail, en crear le nouveau Sondage de Gestion Algorítmica et Travail de Plate-formes – AMPWork- que s'a mené à terme en Espagne et l'Allemagne en 2022 (Fernandez Macias et au. 2023 ). AMPWork Révèle qu'une proportion significative de travailleurs utilise des dispositifs digitaux dans son travail quotidien (le . 65 4 % en Espagne et le . 61 5 % en Allemagne) et il est sujette à quelque type de contrôle digital ou, avec moins de fréquence, à quelque type de gestion algorítmica. Les niveaux les plus grands de plataformización du travail se trouvent en des industries de grande technologie, services intensifs en connaissance et administration. Selon AMPWork la forme la plus commune de gestion algorítmica est l'attribution automatisée de tours ou temps de travail à travers un dispositif digital, suivie de l'attribution automatisée de tâches. Il y a un pourcentage bas mais remarquable/remarquable de travailleurs dont le rythme de travail il est déterminé par un dispositif digital ou il suit des instructions ou des indications automatisées dans le travail. En des termes de conditions de travail, le travail plataformizado s'associe avec des procédures plus détaillés et complexes, ainsi qu'avec des majeurs niveaux d'autonomie et flexibilité que les employés traditionnels. D'autre part, ces travailleurs souffrent plus stress et ils sont plus exposés à des procédures monotones et à des horaires atípicos (voyez-vous le graphique 8 ).
Source: Fernández-Macías et au. ( 2023 ), Avec des données d'AMPWork
L'usage de plate-formes et algoritmos comme des mécanismes de coordination est spécialement implanté en des secteurs comme la logistique et, à une moindre échelle, le commerce détaillant, secteur industriel, le marketing, la consultoría, la santé ou la banque, bien que petit à petit semble aller en s'étendant à tout type d'activités économiques dans lesquelles ils se donnent les conditions matérielles nécessaires. Comme dans le cas du teletrabajo, la digitalización de l'environnement de travail est aussi dans ce cas le prerrequisito fondamental pour la plataformización du travail.
Dans une récente étude qualitatif réalisé en collaboration avec l'Organisation Internationale du Travail (Rani et au. Forthcoming), Avons analysé la gestion algorítmica et le contrôle digital des travailleurs sur le terrain dans les secteurs de la logistique et la santé en quatre pays: deux hautement développés (la France et l'Italie) et deux économies émergentes (l'Inde et l'Afrique du Sud). L'étude révèle un contraste notable entre les cas européens et n'européens. Les études de cas réalisés en Italie et la France montrent un impact plutôt positif de l'introduction de ces outils algorítmicas, sans conséquences négatives remarquables/remarquables en des termes de qualité de l'emploi, contrôle et surveillance des travailleurs. Dans les études de cas réalisés en Inde et l'Afrique du Sud, la situation est très différente. Avec des technologies similaires et des types de travail similaires, dans ces cas nous aussi voyons des gains de productivité et efficacité, ainsi que tu améliores dans les modèles d'entreprise, mais nous aussi remarquons un dégât significatif des conditions de travail et, ce que est important, il y a une évidence claire de formes très intrusivas de surveillance des travailleurs. De même que dans le cas du changement ocupacional ou le teletrabajo, ce contraste notable implique que l'impact de la gestion algorítmica dans le lieu de travail dans les secteurs traditionnels semble être déterminé au moins en partie par le cadre institutionnel et regulatorio existant. Le degré de sindicalización et la proportion d'emploi public aussi semblent occuper un papier important dans la mitigation des conséquences négatives.
Malgré ces différences, un important élément en commun de toutes les technologies analysées (de majeur ou moindre degré de sophistication technique) il est que toutes elles ont de façon intrínseca un fort potentiel pour être utilisées avec le propos de contrôler et surveiller aux travailleurs, puisque permettent recopilar une ample variété de données sur ceux-ci que peut être utilisée pour, par exemple, contrôler son rendement. Il est important signaler que l'usage d'algoritmos pour des fonctions de gestion du travail ne précise pas être explicite ou même intencional pour avoir conséquences directes en des termes d'organisation du travail, conditions de travail et relations industrielles. En beaucoup de cas, les technologies que nous avons analysé ont implications remarquables/remarquables dans ces aspects, même sinon sont directement destinées à être utilisées pour la coordination du travail. En fait, souvent la gestion algorítmica est une espèce de résultat n'intentionné d'user certains outils de gestion de procès dans un sens un plus ample. Il est d'attendre que la généralisation de l'usage d'intelligence artificielle dans le travail puisse amplifier ces effets, ce que requerra de nouvelles recherches que permettent identifier des défis et des occasions et soutenir la création de nouvelles politiques et instruments regulatorios que, à bon sûr, continueront à être nécessaires.
2 Malgré le fait que les taxes d'affiliation syndicale soient similaires entre les travailleurs de plate-formes et le reste de travailleurs, avec une densité syndicale du 13 . 4 % (Vandaele et Au. 2024 ).
3 Les pays analysés sont la Croatie, la République tchèque, la Finlande, la France, l'Allemagne, l'Hongrie, l'Irlande, l'Italie, la Lituanie, Pays-Bas, le Portugal, l'Espagne, la Suède, la Slovaquie, la Roumanie et le Royaume-Uni.
4 En comprenant comme des travailleurs principaux de plate-formes à ces que ceux-là qui affirment il travailler plus de 20 heures hebdomadaires en trinquant services à travers plate-formes de travail digitales ou gagner au moins le % 50 de ses revenus en le faisant.
5 Ceux-là qui prêtent services à travers plate-formes de travail digitales plus de dix heures à la semaine et obtiennent entre le % 25 et le % 50 de ses revenus du travail en des plate-formes.
6 . Constats
6 . 1 . Principaux résultats: changement technologique et emploi dans les premiers décennies du s. XXI
Les débats que nous avons abordé se centrent dans l'impact des nouvelles technologies dans le marché de travail. Débats que, souvent, ont été accaparés par des titulaires frappants, qu'en des occasions sont même arrivé à promouvoir une certaine anxiété par l'automatisation. Dans ce contexte, notre travail suggère que, au moins en base à l'expérience européenne récente, ces peurs ils sont infundados.
D'abord, parce quel'automatisation du travail, et de forme plus précise l'usage de robots, n'a pas provoqué une destruction d'emplois à grande échelle.Au contraire, l'évidence sur l'impact de l'usage de robots en des termes d'emploi est mixte, et les effets qui ont l'habitude d'il s'identifier ils sont petits et tienden à être, dans quelques études récentes, positifs. Dans ce sens, l'usage de robots s'associe à une majeure resiliencia. En plus, son impact en des termes de productivité est clairement positif.
Seconde, parce que les technologies digitales ils n'ont pas provoqué polarisation ocupacional. Le patron de changement ocupacional plus visible à échelle globale et dans le long terme est un d'amélioration ocupacional, qu'indique que les emplois qui ont plus grandi sont de grande qualification et salaires. Cette amélioration ocupacional s'associe à des grandes transformations que sont en train d'arriver en tout le monde, comme la terciarización, le majeur réussite éducatif de la population, l'incorporation de la femme au marché de travail et l'expansion des services publics. Dans les lieux en qu'il a avoir polarisation ocupacional, ce phénomène a l'habitude d'être plus lié avec procès de dérégulation de travail, la faute d'investissement public ou la précarisation de l'emploi public.
En troisième lieu, parce que nous savons que ce que ils ont oui fait les nouvelles technologies il est permettre que le teletrabajo se développât vite. Pourtant, après le COVID, etl pourcentage de gens que teletrabaja est assez moindre que la proportion d'emplois que, en raison de ses caractéristiques techniciennes, ils sont susceptibles de se mener à terme de forme lointaine. Ceci nous oblige à penser dans l'existence de barrières institutionnelles et culturelles qu'ils mettent frein à son plus ample développement. En plus, nous savons que le teletrabajo se distribue de forme très inégale en des divers segments, en se traitant par tellement d'une armoirie que bénéficie seulement à part des travailleurs. Pour extraire son majeur potentiel, de sorte qu'ils puissent se bénéficier autant à des travailleurs comme l'ensemble de l'économie (dans la mesure en qu'il fait que l'emploi soit plus resiliente), conviendrait mettre plus accent en des mesures autant formatives et de capacitation (sur des habilités digitales) comme compensatorias, dirigées vers les segments les plus vulnérables du marché de travail et que ne peuvent pas développer encore son activité en des environnements digitaux.
En quatrième lieu, nous avons vu que le travail en plate-formes s'est consolidé en Europe comme un phénomène relativement petit mais significatif en même temps que,quelques formes d'organisation du travail propres des plate-formes (l'usage de dispositifs digitaux pour monitorizar le travail, la gestion algorítmica de procès, etc.) Il s'est en étendant à toute classe d'emplois. Dans ce cas, la plataformización du travail peut supposer des avantages (majeure flexibilité et autonomie) mais il pose des défis de futur importants en des termes de qualité de l'emploi, caractère privé et contrôle du travail. Qu'ils soient les impacts positifs ou négatifs ceux qui priment dans le moyen et long terme dépendra, en dernière instance et comme en tellement autres cas, de la forme dans laquelle il se règle cette nouvelle forme de contrôler et gérer le travail.
6 . 2 . Implications pour la politique d'emploi: la technologie importe, mais les institutions et la régulation interviennent ses effets
Dans les sections préalables nous expliquons quelques des tendances récentes dans le marché de travail et nous remarquons que le changement technologique ne s'associe pas à la prolifération de problèmes comme le chômage massif, la polarisation ocupacional ou la réduction des niveaux d'autonomie dans l'emploi. En revanche, en des nombreux fronts il est en train de générer des occasions: en douant de majeur resiliencia à l'emploi, en promouvant augmentations de productivité et procès d'amélioration ocupacional, etc. Celle-ci est notre première contribution, dans la mesure que nous sert pour remettre en question beaucoup de de les diagnostics (catastrofistas) préalables. Nous, en revanche, offrons une perspective moins pessimiste. Assurément nous ne remarquons pas des clairs impacts négatifs de la technologie en des termes d'emploi, bien que nous sommes quelque chose plus cautos à l'heure d'estimer l'impact de l'usage d'algoritmos et outils digitaux pour contrôler et gérer le travail sur la nature de l'emploi et l'organisation du travail.
Nous sommes moins de pessimistes ou, il peut-être soit plus précis, moins deterministas. Ceci est ainsi parce que, comme arrive avec la majeure part de transformations et changements, ceux-ci ils s'associent autant à quelques avantages comme à quelques inconvénients. Dans ce contexte, ce que souligne notre recherche, et nous envisageons qu'il est un des éléments qu'apportent majeure valeur ajoutée au débat, est que le fait de que ils priment quelques effets (positifs) ou autrui (négatifs) il ne dépend pas seulement de la nature du changement technique, mais aussi de la régulation, les politiques et la forme comme s'organise le travail.
Nous savons, par exemple, qu'investir en capital physicien et encourager le déploiement de robots dans les lieux de travail il peut servir pour stimuler la productivité et l'emploi. Que nous pouvons agir d'éviter qu'ils arrivent procès de polarisation ocupacional moyennant la politique industrielle ou la création d'emploi public de qualité (en des secteurs comme le de l'éducation, la santé ou les soins), emploi qu'autrement se canalizaría à travers la génération de services privés avec des bas salaires. Ainsi, de la façon comme se règle l'emploi de plate-formes et l'usage d'algoritmos dans le travail dépendra que ses impacts positifs primez (ou ne) sur les négatifs. Malgré l'important effort regulatorio que s'est en développant récemment autant en Espagne comme en l'Union européenne, nous racontons encore avec cadres institutionnels et régulateurs dessinés en grande mesure pour des formes de travail predigitales. Dans ce contexte, la capacité de nous adapter à ces nouvelles réalités et de promouvoir, régler et organiser l'usage de nouvelles technologies et nouvelles formes de travail, plus que le fait de que il y ait chômage massif ou polarisation ocupacional, est probablement le principal défi à celui que nous nous faisons face à aujourd'hui. Par cette raison nous rejetons frontalement les approches et des perspectives deterministas sur le changement technologique: parce qu'il n'a pas un effet inexorable, mais que celui-ci est intervenu par des facteurs sociaux, normatifs et culturels.
Connaître à fond la nature des changements que sont en train d'arriver dans le marché de travail dans l'ère digitale est importante pour pouvoir extraire tout le potentiel des nouveaux outils que nous usons dans le travail. Les nouvelles technologies ni nous condamnent ni ils nous sauveront: que nous soyons capables d'extraire son maximum potentiel pour crear plus et meilleurs emplois ou nous seulement souffrions ses impacts négatifs il est, en dernier terme, dans nos mains. Dans ce sens, nous attendons que l'information que nous offrons servez pour stimuler ce type de discussions et promouvoir débats meilleur informés, ce que pourrait servir en dernier terme pour promouvoir la prise de décisions basées sur l'évidence
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